Si en 1740 Hubert Le Blanc dit du violoncelle que « jusques là [il] s’étoit vu miserable cancre, haire & pauvre Diable », il admet aussi que « maintenant il se flatte qu’à la place de la Basse de Viole, il recevra maintes caresses; déjà il se forge une félicité qui le fait pleurer de tendresse ». On explorera l’arrivée du violoncelle en France—en partie par le biais des napolitains—et le développement de son répertoire et de sa technique jusqu’à la Révolution.